Je me nomme Marie, je suis bénie entre toutes les femmes et ainsi, l’Esprit Dieu dans l’exemple se manifeste pour la moisson. Le pouvoir de Dieu est ici maintenant et dans cette conscience révélée, l’amour, la paix, le don et l’offrande doivent se manifester à tout instant de la journée.
Avez-vous compris le sens de la liberté ? « Aimez-vous comme je vous aime », avez-vous compris ce que cela veut vous démontrer ? J’ai bien peur que non. L’avènement puissant du juste est ici maintenant en révolution. Tout est inscrit dans la moisson de l’Être aimé. Es-tu prêt à observer ce qu’il se passe autour de toi pour mieux comprendre qui tu es ? As-tu pris conscience que dans l’épreuve il y a toujours une leçon à retenir ? Es-tu prêt à rencontrer l’exemple de la paix ? Es-tu prêt à m’entendre dans le cœur de la vie, où la merveilleuse conversion se manifeste constamment ? Es-tu prêt à ouvrir les yeux, car vois-tu Jésus-Christ dans la mort a tout donné à l’exemple de ce qui Est. Je voudrais, dans l’explosion du sentiment vrai, être dans la vérité du Verbe pour accomplir une bonne moisson, mais vous êtes fermés à l’appel de la résurrection. Comment puis-je vous donner, vous interpeller si vous ne voulez pas écouter votre intériorité ?
Le messager doit apprendre, dans le Verbe, à se soumettre à la condition de Dieu, qui lui, permet l’ouverture vers le souffle des mémoires. Alors, cherchez au-delà de votre création ce que Mère représente, en vous, dans vos actions, dans vos comportements. Cherchez à vous renouveler, à ne plus mépriser la vie que vous ne respectez plus. Qu’avez-vous appris tout au long de votre vie terrestre ? Certains sont restés dans la descente aux enfers, d’autres ont ouvert la porte mais l’ont vite refermée lorsqu’il s’agissait de faire un effort. Voyez, il y a ceux qui s’interrogent, mais qui n’avancent pas vers moi. Beaucoup d’hommes croient trouver le chemin de l’amour, mais très, très peu y parviennent, car l’amour n’est pas dans votre création.
Je vous le dis, ne cherchez plus les complications, l’amour est dans la simplicité d’un don, d’un sourire, d’un silence. L’amour est puissant dans le Verbe qui s’accomplit. Alors, si tu veux me reconnaître en toi, penche-toi sur tes pieds et regarde. Sont-ils palmés, ou délivrés de la matière ? S’ils sont encore palmés, tu dois construire une mémoire qui pourra t’élever. Si tes pieds sont dans la grandeur d’un cœur aimant, alors, tu seras, dans la réciprocité, aimé comme tu l’as toujours demandé. Dieu veut que tu sois ce qu’il veut que tu sois et quiconque rejette la mémoire de Dieu se trouvera dans la maladie de ses Cieux.
Ce que tu crées, tu le reçois. Ce que tu vis dans le maintenant, dans l’amour tu le soumets et tu devras comprendre que chaque fois que tu es dans l’implosion néfaste de la vie, à chaque fois tu auras un souci. Cette mémoire ne renverse pas le processus cellulaire, mais le met en condition devant la conversion, c’est tout. Alors cher enfant, vas-tu prendre conscience de ce qui Est, pour développer une forme de pensée différente, aimante et paisible ? Feras-tu l’effort d’imploser pour recommencer ? Prouve à la vie que tu l’aimes, que tu la respectes. Donne à la vie l’amour de l’instant, le frisson du moment et la paix pour la liberté. Es-tu prêt ? Alors, je compte sur toi et sur des milliers d’hommes pour recommencer à vivre un univers différent et conditionné par l’amour et la paix.
Je vous bénis mes enfants. Soyez ce que vous devez être dans le moment, dans l’instant et dans l’impermanence du Tout puissant.