La convenance du « Je Suis » est ma réalité en toutes formes et en toutes choses. Le vinaigre est le cœur de la vie dans l’épreuve, c’est la moisson d’un passage vers l’éternité. Le ventre de Mère est amour pour le messager qui reconnaît l’évidence. C’est dans l’Esprit de Jésus qu’il faut que le souvenir prenne sa réalité et se place en tous lieux, en toutes choses. La plaie du côté de Jésus est une évidence qui permet au Savoir du messager de reconnaître cette offrande de réincarnation, car c’est ce coup de lance qui a permis la vie. Si le vinaigre est messager, le vinaigre est salé. Il permet à la science de l’offrande volontaire de recommencer et d’imploser dans le sens révélateur de mon cœur. Alors, le poumon de Marie peut volontairement reprendre vie. Ainsi, nous nous dévoilons aux moissons de l’origine, conscientes de la vie. Nous sommes dans le passage de la vie à la mort, de la mort à la vie et de la mémoire où Je Suis. De la dite conscience à l’instant présent, nous sommes un monde convertissant dans l’implant généreux de Dieu où toutes vies se convertissent à la mémoire de l’empathie. Nous sommes Dieu, nous sommes l’évidence dans la complaisance.