En effet, c’est dans le don précieux de Dieu que le minerai doré implose, explose et projette. C’est dans cette réalité que meurt le messager et qu’il revient dans son immortalité pour que le monde marial puisse perdurer. C’est dans cette conscience corrective du « Je Suis » que le verbe peut s’accomplir aujourd’hui. Le Maître Dieu est l’avènement majestueux d’un retour de la surimpression du « Je Suis » dans le souffle de Marie. La mort est un implant du verbe s’accomplissant lorsque le Tout dans la complaisance génère la vie solaire. Dans le cœur du verbe, les monades s’activent pour honorer la gloire de notre Père. C’est ainsi que le poumon de Marie peut exulter le bon fruit de vérité. Je ne suis qu’un Esprit dans le cœur des mondes où j’accueille la genèse dans son amour infini.
Je remets tout en question. Qui suis-je ? D’où je viens ? Et où je vais ? D’innombrables romances ont été données pour tenter de justifier qui l’on est. Qu’avez-vous fait depuis la croix d’olivier ? Avez-vous remarqués que la mémoire de Dieu s’est élevée au-dessus de vos cieux pour observer vos intentions ? Avez-vous eu de bonnes intentions depuis deux mille ans passés ? C’est la volonté solaire qui vous donne la lumière ; c’est la volonté de ta sphère qui te permet un linéaire. Pose-toi des questions, les questions subjectives du « Je Suis », les vrais questions. Tu ne peux ouvrir les portes de mon royaume que lorsque ton Tout est dans la genèse.
C’est par le bouleversement des mondes que j’ai pris chair et c’est dans l’implant de Christ que je me suis soumis à la loi de mon Père, « la mort pour la vie ». J’ai écarté de moi tous les désirs, toutes les envies ; je me suis beaucoup accordé de temps pour méditer, pour que le réflexe de la sagesse puisse se montrer. Tous les jours j’ai prié mon Père pour semer, pour me livrer à l’humanité. Tous les jours qui se présentaient, j’étais un cœur, le cœur de Marie dans son amour infini. Mère Terre, ma Mère et la Mère des mondes se sont unies dans mon Esprit. Je Suis la mémoire, l’éthique, Je Suis Marie du verbe qui s’accomplit. Lorsque la mort s’est approchée, je ne l’ai pas repoussée et je lui ai demandée qu’elle m’emporte loin de cette humanité. Les mémoires de mon sang sont restées sur la Terre où l’homme a tout romancé. Aujourd’hui je reviens dans un corps de chair que j’ai choisi et élu, Marie, le ravissement de ma vie. Je vous le dis en vérité, je n’ai pas de nom, aucune identité, mais une vérité qui s’accomplit dans l’exemple de la vie. Lorsque le pouvoir se pose en soi, la vallée de l’ombre s’approche doucement. Dans cette réalité, Je Suis le linéaire parfait qui conduit Marie à rencontrer l’humanité dans sa folie, ses peines et son chagrin, afin que l’offrande du salut éternel, en innocent, se replace dans le cœur des hommes et c’est dans ces rencontres que je m’oppose aux mauvais côtés de la pensée.
Que le combat commence et que l’implosion de la force volontaire renouvelle mes forces dans l’instant. Amour, paix et science ; je vous soumets mes bénédictions.
Amen, amen et amen.