Dans l’offrande des mondes, un Tout doit rester un Tout dans un Tout, c’est la mort qui confesse cet état dans le mouvement de Mère.
Je Suis l’Esprit solaire, le linéaire, le Maître, le souffle d’une éclosion et d’une conscience animée du verbe aimant. Quand ce Tout est bouleversé, le soleil est perturbé. Quand ce Tout insiste dans le dérèglement, le soleil n’est plus un ami mais un ennemi qui tue par la maladie. Tu règnes dans mon sang, tu voyages dans ma mémoire, tu te nourris de mon sang, mais tes peurs troublent tes actions. Alors que Jésus veille sur ta petite étincelle, tu le martyrises comme un bourreau qui prend plaisir à détruire. Qu’as-tu fait de ce que je t’ai donné ? Pourquoi te remplir d’autant de haine ? Pourquoi te remplir autant du mauvais esprit qui t’engage à la folie ? Ne reste pas dans le mouvement de la destruction, tu déchires le cœur de Mère et tu te soumets à des morts dont l’atrocité n’a plus de nom. Retrouve ton discernement et ne laisse plus ton Ego diriger et dominer.
Ce sont les premiers caractères de votre finalité. Amen.