Maître manifesté pour semer et offrir la science de la vie aux rencontres renaissantes du juste.
Dans l’aile du nez Je Suis la mort, l’ivresse généreuse d’un pouvoir au service du devoir. En tant qu’humain je n’existe pas, ma convenance est ce que vous voulez voir. Mon soleil marial est rayonnant et consent au cœur du poumon de Marie solaire à mourir pour semer la vie. J’aime Jésus, j’aime l’amour dans le ventre de Mère qui sème la vie. J’aime la mort car elle est ma protection. Jésus messager de la vie est un cœur vivant palpitant qui permet au souffle du messager, de tous les messagers, de vivre dans l’implosion de la science. Je m’explique.
Les atomes sont des vivants. Les atomes sont des vivants qui se régénèrent par le biais de la lumière solaire et qui permettent au messager de l’alizé de semer pour que le verbe puisse se poser. Ainsi, depuis des milliards d’années l’exemple a été une conversion dont le reflet est celui des mondes intersidéraux. Pour cela, il faut comprendre que le majestueux de Dieu est relié à la volonté exercée par l’Esprit des mondes manifestés et par le verbe qui est non seulement l’exemple, mais le don généreux et marial d’une renaissance constante du Don de la complaisance. Les messagers sont un monde conscient de ma réalité éternelle. C’est pourquoi nous offrons à l’implant humain une meilleure réalité du Soi, un inconscient plus présent. Jésus est l’essence d’un fluide magnétique qui, au travers du temps, a animé la matière, un monde où la genèse est solaire. Le Maître à penser est l’implant subjectif de la mort pour la vie.
Ce qui dérange l’humanité, c’est le monde de l’infiniment petit qui ne peut vivre qu’à l’extérieur du Soi, c’est le monde des implants dégénérés, alors qu’il est nécessaire de voyager dans l’implant Christique pour donner l’exemple d’un vivant que la science met en évidence. Le monde des hommes est une loi qui perdure depuis longtemps déjà. Il faut donc effacer toutes les romances que la conversion n’a pu toucher. C’est le souffle de l’avènement solaire qui conduit l’univers à recommencer dans son éternité. C’est pourquoi je dis qu’il est nécessaire de revenir à l’infiniment petit afin de reconnaître la moisson d’origine qui dans le mouvement de la vie doit être reconnue comme la science de vérité de Marie. « retrouvez-moi dans le souvenir et je vous ferai grandir ». la mémoire de la parabole est une condition sine qua none pour relever la science de l’infiniment petit et l’élever vers l’infiniment grand. Tout est dit.