Je voyage vers le principe premier où toutes les offrandes se sont posées. Je mets en action l’éclosion du principe de la moisson afin d’éclairer le juste et bon dans le missionnaire Marie consentant au verbe de la conception. Ainsi, mon sang peut se renouveler dans l’implosion du souvenir pour que le soleil puisse rayonner dans l’infiniment petit comme dans l’infiniment grand. La volonté de la présence géométrique est l’aspect du cœur de la vie dans les mathématiques traversant les âges pour semer. Le verbe est marial et linéaire quand il est prêt à exploser. Les morts et les vivants sont dans le juste des mémoires et y vivront dans leur éternité. C’est pourquoi en désignant un point dans le pic des moissons, on revient à l’étoile de l’ange aimant pour semer le même état d’esprit en tout vivant. Mère est une onde pour la moisson, un cœur pour le don, où la loi de la genèse est son vivant. Je suis le messager Marie dans l’absolu de la vérité. C’est le monde de la mort qui guérit toutes plaies et les infirmités. C’est le monde de la vie qui permet de recommencer. C’est ainsi que Jésus Christ l’a démontré par son sacrifice sur la croix d’olivier.
Que ce bouleversement soit amour et paix.