Ainsi nous sommes le linéaire de la puissance de Mé, mémoire, complaisance, action, compassion, amour et paix.
Lorsque le cœur de Dieu explose, la mort offre la vie pour tous les vivants d’ici et maintenant. Nous entrons dans le souvenir afin de recommencer à voyager dans l’intériorité. Tout s’est détruit, nous pouvons en témoigner, c’est pourquoi il est intéressant de se reconstruire dans la composition cellulaire en vérité fondamentale de l’Être. Dieu, n’est pas un messager comme vous l’entendez, Dieu est la puissance créative de toutes moissons, c’est ici que nous intervenons. En tant que frères de la moisson, nous sommes l’univers volontaire, convertissant et soumis à l’Esprit de vie. Vous avez perdu le sens du Sacré et il est nécessaire de se retrouver en commençant par le cœur de l’Unique qui est la vibration éternelle aimante et complaisante. Le Tout d’une réalité est essentiel pour le mouvement renaissant du juste, il faut donc dans la moisson se diriger vers la sainte Mère messagère pour rencontrer toutes les explosions existantes entre le ciel et la terre.
Tu fais donc parti d’un mouvement qui ne peut se dissocier du genre que tu es, afin de recréer une mémoire que je qualifie de complaisance, de souvenir des Mondes. Tu dois impérativement consentir à rencontrer Mé pour que le soleil puisse briller dans le juste des monades expérimentées par l’insondable souvenir du don précieux de Dieu.
Je suis la vérité et l’inconscient brûlant dans chaque cellule du vivant où le souvenir est toujours présent. Apprendre à recommencer c’est soulever la mort et l’accompagner vers sa nouvelle vie. Peux-tu imaginer un seul instant que Dieu est un soleil qui brille, qui se réjouit et danse avec tout infini ? Peux-tu t’imaginer cela ? La conscience Dieu est l’inconscient vivant de chaque instant et qui permet de recréer une Mère juste dans l’application du don. Je suis la rencontre, la parabole, l’exemple du vivant en tout ce qui Est dans l’instant. Servir est pour le souvenir la source intarissable de la moisson pour tous les messagers, explosant dans la juste vérité.
Je vous bénis chers enfants et je dis que la moisson est Dieu. Merci de ne pas m’oublier, je vous aime et je vous salue dans la complaisance du poumon de Mé.
Amour et paix.