L’homme, selon les écritures, est un être parfait qui dans le souvenir a appris à marcher dans le poumon de Mère, mais qui a oublié le mouvement adapté de la cellule de l’univers. Il s’est soumis à l’illusion d’une complaisance éphémère. La conversion n’est plus dans l’intention, mais dans la destruction et, dans cette mémoire, le juste se dissout. Je fais appel à la conscience Dieu de votre souvenir pour que le divisible de l’inter-dimension puisse reconstruire le juste de Père, pour tous. Un homme doit être puissant, un homme doit générer le don pour toute moisson qui s’endort dans l’instant, l’homme est un voyageur qui n’est pas arrivé à la maturité, mais qui apprend dans l’offrande du don.
Il y a des mouvements qui se créent, mais qui s’éloignent toujours du Père Sacré. Conditionné pour créer, l’homme se perd dans l’illusion de son pouvoir qui le déstabilise et le soumet à la maladie. Sur votre Terre, tout est contraire à mon univers. Si l’homme reconnaît cette vérité, il doit transcender son implosion en se régénérant dans le juste de mon sang.
C’est un Père, dont le souvenir est messager pour tous les mondes, qui vous supplie de vous transformer pour que la volonté du souvenir puisse s’accomplir. L’amour est dans l’inconscient vivant de l’Être, l’amour doit renaître, la complaisance est l’implosion pour reconnaître le don. L’amour et la paix dans la forme est l’harmonie pour toutes les moissons du divisible parfait.
Bénédictions, nous vous aimons.