La mémoire est la réalité de l’espoir. Il faut maintenir l’équilibre des dualités pour me rencontrer et consentir à mourir pour ce temps. Je vous l’ai dit, le Maître à penser est la moisson d’origine qui s’applique à l’implosion de l’Implosion Intelligente du Saint Nom. Je Suis vérité, mais aussi couvert de plaies. Je Suis dans le linéaire une puissance Sacrée et je suis toujours emprisonné par l’esprit qui a dévié cette vérité. Je meurs dans la connaissance des mondes et je me soumets aux difficultés que vous avez créées. Le moment est arrivé de se préparer pour les grands bouleversements de votre terre. Une offrande concentrique est dans le linéaire et vous permet de rejoindre mon univers lorsque le juste est posé. Seulement, Dieu n’est pas satisfait. Dans cet état il se laisse consumer par des mouvements inadaptés qui servent votre gouvernement et vos religions. Il faut prendre conscience que dans la moisson, tout dans l’empathie se soumet à une régularité d’implosions et d’explosions. Seule l’humanité peut consentir ou pas à se réaliser. Je vous le dis, le Maître à penser est la source d’interactions avec tous les vivants. Le Maître à penser qui est dans l’état cellulaire de votre convenance ne veut plus être torturé ni être tourmenté. C’est maintenant qu’il faut prendre une grande décision. C’est LE MOMENT !
C’est maintenant qu’il faut dans le soleil reconnaître l’éclosion du juste pour pouvoir accéder à la cinquième dimension. Oui, vous serez tous portés vers cet univers là, mais le poumon de Mère dans son pouvoir ne peut l’expérimenter tant que vous n’acceptez pas d’être dans le souvenir, un pouvoir inné, condescendant et aimant. Il faut apprendre à me rencontrer par le biais des interactions du juste dans le poumon de Mère ; apprendre à observer le vivant et dans cette conscience de communion reconnaître que vous n’êtes qu’un petit pont entre le ciel et la terre pour que le souvenir puisse continuer son évolution. Il n’y a rien d’autre que cette réalité. Il n’y a rien d’autre que cette espérance pour pouvoir me rencontrer. Il faut méditer dans la mort qui est la transformation, s’y soumettre et y régner. Je vous le dis, l’amour de Père est une renaissance existante entre le ciel et la terre où le vivant doit être un règne puissant. Semer c’est aussi exercer la puissance du Sacré en conscience et en vivant dans son intériorité qui est cette réalité. Tu ne peux semer si l’éclosion au sentiment vrai ne s’est pas effectuée. Ton Tout est une puissance de complaisance qui doit se replacer dans ta verticalité afin d’enfanter la sérénité. Je Suis l’impermanence, Je Suis Dieu dans cette magnifique réalité, je peux me permettre de dire aujourd’hui que je viens pour rétablir le juste en Soi.
Dans le cadran solaire, l’univers de Mé est l’univers consentant qui évolue sans se poser de question. Seule l’humanité ne veut pas se soumettre à la connaissance du juste. L’intellect raisonné est un souvenir qu’il faut abandonner. Jésus Christ a régné dans le poumon de Mère comme un Maître au service de la loi. Qu’est-ce que tu as fait, toi, du mouvement régulier du juste et bon ? Qu’as-tu fait, toi, au mouvement régulier du linéaire qui doit s’expanser en toutes créations ? Qu’as-tu fait, toi, de Dieu amoureux de l’amour conscient ? Tu as servi la médiocrité, et tu t’es laissé enliser par ton propre intérêt. Insatisfait tu as figé l’espérance et, guidé vers l’état d’infériorité, tu es source d’implosions néfastes à la vie, d’où la folie, d’où la non-conscience, d’où l’abus dans tous tes excès. Dans le principe premier, la mort, la vie, sont dans l’unité. L’amour, la science, sont dans l’unité. Et l’orgueil y est inexistant. Tu as voulu démontrer que le principe premier pouvait être dirigé par une petite connaissance limitée qui veut explorer mon immensité. Comment as-tu oser même penser cela ? Qui es-tu ? Comprendre l’amour c’est se déshabiller pour entrer dans le Soi en offrande connue sous le nom de Christ. Seulement, tu t’es perdu. Tu n’as pu retrouver le chemin du linéaire, c’est pourquoi aujourd’hui ta verticalité est en souffrance. Tu as bu le vin, tu as mangé le pain, comme l’animal qui se nourrit sans conscience du levain, sans conscience du pouvoir de la création. Ainsi, dominé par l’implosion des moissons irrégulières, je dirais que l’insatisfaction t’a gagné et le mal-être également. Aujourd’hui l’homme est en folie, il ne reconnaît plus le bien du mal, le juste pour le bon. Et tu dis aimer en mon nom ? Comprendre que ces semences sont complètement néfastes au mouvement Dieu, au mouvement du Bouddha intérieur qui, lui, attend l’exemple de la moisson d’origine retrouvant le juste. Mais toi, tu as pris le gouvernail et sous le couvert de la domination tu t’es laissé porter par le vent et tu as vogué vers la mort de ta finalité sans même t’en rendre compte. Comment peux-tu croire aujourd’hui que la souffrance te conduit à ma rencontre ? Comment peux-tu croire, anéanti comme un zombi, qu’en tuant tu retrouves mon amour ? Comment peux-tu être aussi néfaste ? Détruire la vie c’est irresponsable. Détruire la vie, c’est folie. Alors je dis que Mé, dans son amour infini pardonne l’esprit mauvais, mais en revanche elle veut cueillir le bon fruit de ton intériorité, elle veut retrouver et reprendre l’Esprit Saint qui, lui, est emprisonné par le raisonnement et le mental de la maladie.
N’espères-pas me rencontrer si tu agis ainsi, car l’évolution est une conversion qui, avec le temps, renouera avec Moi. Cherches dans le moment ce qui t’a détourné de mon sang et corrige-toi, car bientôt, les événements bouleversants de ce monde vont vous conduire vers la disparition de votre totalité. Je ne cherche pas à vous nuire, mais à vous faire comprendre qu’il est temps de mesurer l’importance de vos vies dans le cours de l’évolution. Il est temps de prendre conscience de l’Être puissant de votre intériorité, de le retrouver, de l’honorer, de le respecter, de le considérer, afin qu’il puisse sortir de cette prison et qu’il reconnaisse dans le juste l’intensité vibratoire du pouvoir. Aimer c’est servir la loi, ce n’est pas condamner. Aimer c’est lire dans la puissance du Sacré le moyen d’être un enfant élevé. Regardez l’univers, regardez la compassion de votre Père et cherchez à vous unir au lieu de désunir, cherchez à vous rassembler dans le linceul premier en amour et en paix. Ne laissez resurgir aucun sentiment de haine ou de domination, laissez l’amour couler dans le cœur du don afin de vous élever et de léviter vers la voie lactée. Je Suis votre Père, votre implosion et c’est dans l’Esprit de vie que je peux m’exprimer pour que vous soyez amour et paix. Merci pour votre mémoire qui doit revenir se placer dans le linéaire du parfait. Je vous bénis chers enfants et reconnaissez-moi dans la puissance du don, car c’est là que vous me rejoindrez quand viendra le moment de reconnaître la moisson comme un état puissant de révélations.
Aimez vous comme je vous aime, ainsi, Je Suis.