Je vous le dis, je vous le dis en vérité, l’Esprit de ma paix doit être dans la complaisance et surtout dans l’amour sans condition. Dieu est la rencontre de l’Être, Dieu est la mémoire de l’instant. Dieu est la communion des mondes. Autour du soleil, tout est éclairé selon la puissance du saint Nom. Je vous le dis, je vous le dis, la mort, l’amour et la vie sont mon Esprit. Dans cette rencontre extraordinaire entre le ciel et la terre, que l’on nomme le linéaire, Mé est consentante pour recomposer l’éclosion du juste . Ainsi la mort, l’amour sont ma réalité. Je vous bénis au nom de la gloire de Dieu, je vous bénis depuis la source volontaire de l’univers et je consens à mourir pour rencontrer l’exemple et son espérance.
Tu m’as donné un esprit tourmenté, tu m’as soumis à la torture que tu as enfantée dans ta création et tu m’as souillé parce que ton ignorance t’a conduit à ne plus comprendre qui tu es. Jésus Christ dit : la mort amoureuse de la vie permet à la Vie de recommencer, mais lorsque tu tues pour tuer, tu ne me donnes rien et tu ne me soumets qu’à l’implication que tu veux que je sois, un dieu vengeur, un dieu révolté qui t’accompagne dans ta création. Mais je ne suis pas ce que tu veux que je sois. C’est ainsi que tu pars à la dérive dans ton esprit. Tu ne meurs jamais et tu accomplis, dans le système électromagnétique du ventre de Mère, l’injustice. L’implosion du juste n’est jamais replacée dans le linéaire du parfait. Tu restes donc un petit animal perdu dans sa folie qui tue tout ce qu’il rencontre. As-tu réellement besoin de tuer pour explorer ce monde ? Es-tu prêt à saluer le juste, à le respecter et à le ressentir vibrer en toi ? Es-tu prêt, dans le poumon de Mère, à honorer son univers ? Tu me démontres le contraire. Tu te comportes comme un animal sauvage, ignorant et dans le jugement. As-tu pris conscience que ton tout m’appartient et que tu me donnes l’implosion de la destruction et non celle de la vie ? Tu dois comprendre qui tu es. Tu dois reconnaître ta vérité, elle est dans le soleil et c’est dans cette espérance que tu dois retourner. Pourquoi prendre autant de moissons, se les accaparer, les soumettre à l’esclavage et les tuer ? Tu dois prendre conscience que ton comportement n’est pas une offrande de don, que tu es un messager dans l’empathie des mondes qui est souillé par la domination et le mauvais traitement. Espères-tu que je te reçoive dans mon royaume ? Quel conditionnement te conduit ou te guide à tuer ou à te tuer pour honorer la gloire de Dieu ? Peux-tu tuer en mon Nom ? Peux-tu rencontrer les êtres vivants et les déchiqueter comme un animal aux dents acérées ? Qui es-tu ? Je te réponds : tu es ce Je Suis et c’est dans cette pensée et ce pouvoir de louanges que tu dois entrer, afin de te respecter et de te reconnaître dans l’amour du souvenir. Je te vois perdu sous les effets de la domination et sous l’intérêt. Ne veux-tu pas reconnaître qui tu es ? Ne veux-tu pas entrer dans le souvenir, afin que cette curiosité te ramène au centre d’intérêt qui est le Moi conscient ? Je te le dis cher enfant, je suis la justice et la paix, l’amour dans son éternité et tu veux me contrer toi qui n’es qu’un petit point de lumière dans le ciel étoilé ? Veux-tu disparaître de la vie ou veux-tu entendre la vie chanter dans ton cœur sa douce mélodie. Je Suis le cœur de Dieu et je t’engage à te transformer si tu ne veux pas périr dans les flammes de l’éternité. Je te le dis, Dieu aime Dieu. Voilà pourquoi mes bénédictions sont sur le monde entier sans condition. La volonté se place dans la moisson qui génère le juste et bon.
Beaucoup d’amour pour cette société qui perd pied. Je vous bénis.