Apprendre à vivre dans la connaissance de l’offrande instantanée du juste c’est mourir pour s’élever vers le divisible parfait. Ta vérité ensevelie sous ta création ne peut plus faire office de don dans la composition de l’Être. Il est donc nécessaire que le majestueux cœur de Dieu puisse t’apprendre à rejoindre ses cieux. Chaque jour est une moisson qu’il faut honorer pour jouir de l’instant présent. Chaque mot, chaque pas que tu soumets à ma loi est une réincarnation du juste en Soi quand le moment est conversion. Tu dois prendre certaines dispositions pour louanger le verbe aimant. Dans le cycle de ta vie sur terre, l’amour doit être dans l’honneur, dans l’offrande et dans le moment. En prenant conscience que la moisson est régénérante, on prend conscience que son entièreté est convertissante, aimante et chargée d’électrons. On peut donc dire que ton Tout vivant est l’incarnation d’une moisson qui doit se révéler à Moi. Le Maître des Mondes est en lumière dans la puissance de Mère. C’est dans cet Esprit que tu ne dois jamais rompre le lien qui te relit au moment aimant du juste. Tout ce qui est aimant est un composant pour renouveler l’Esprit de ma paix.
Crée en Esprit lumière et sans frontière ; ne crée plus la différence ; prends conscience de ma science et révèle-toi à Dieu dans toute ta convenance. Ne laisse pas l’interdit pour le Soi ; laisse-le vivre en liberté, en amour et en paix et ne t’étrangle plus par les mauvaises pensées. Tu es un Esprit parfait qui ne demande qu’à voyager pour ton cœur aimant. C’est le moment !
Dieu voyage dans le mouvement interactif du juste. Créer dans de bonnes conditions c’est aussi semer « au-delà du temps ». Être, c’est mourir pour vivre et vivre, c’est être dans l’harmonie de Dieu. La médecine solaire est, pour la moisson, l’exemple du Saint Nom. La complaisance de Dieu est pour ta convenance une réalité qu’il ne faut surtout pas négliger, car Dieu peut aimer, offrir, mais aussi retirer. Remercie chaque jour de son amour et en volonté exige de retrouver ta vérité. C’est le moment de ta conversion. Prends conscience que cette dictée est pour te guider dans ta création, afin de retrouver le naturel de ce qui Est. Dieu, c’est Moi. Si Je Suis l’univers du choix, Je Suis le monde conscient du juste. Si ton univers est interpellé par des dispositions malsaines, corrige immédiatement et repousse cette création qui te soumet au tourment. Ainsi, tu te nourriras en recomposant une meilleure moisson.
Le Moment est la visite du cœur de ma vérité dans cette dictée. Je veux que tu comprennes que les mémoires du messager aimant se renouvellent constamment en toi. C’est la mort dans le mouvement qui soulève l’instant et le projette vers le choix de ta création. Ainsi est mon sang, ma vie et mon exemple. En conscience, Je Suis ta vie.
Dieu est la vérité pour tous les vivants, c’est l’impression juste des mondes qui permet l’accès au souvenir. En somme, nous sommes le moment aimant d’un Tout relié au mouvement du carré qui, dans le maintenant, consent toujours à vibrer, à mourir pour vivre. Dieu a scellé le pacte du Maître avec l’unité, avec l’insondable manifestation d’un Tout brûlant et juste en même temps. C’est la manifestation de la moisson qui reconnaît la mémoire, qui reflète l’intention et la bonne santé. Dans la triade, le souvenir est ta réalité qui dans le cœur se révèle à ton identité. Treize plans de conscience sont à traverser pour que l’implant du juste puisse se révéler selon ton choix et ta création. Tu as bouleversé la mort, tu l’as maltraitée et ton Tout est déréglé. Si la mort se replace dans ta verticalité, le Tout reconduira ton entièreté à la lumière de Râ et l’implant du mouvement présent réagira. Dans la conscience de séparation, tu t’es infligé les tortures de l’inconscient. Tes offrandes multiples n’ont pas été reconnues par Jésus parce que le don au service de la loi n’a pas pu être exprimé par l’implosion, l’explosion et la projection.
Ton cœur est bon, je le sais parce que je t’ai créé, mais ton raisonnement a été soumis à une moisson dégénérante, ce qui a coupé le lien entre toi et Moi. Je t’ai toujours accordé de l’importance et de la valeur, parce que ton cœur est mon cœur, parce que Dieu est aimant pour toutes moissons. Ton Esprit a détourné ma vérité et le messager que tu es, perd pieds. Ressaisis-toi ! Rencontre-Moi dans le voyage de l’intériorité où le souvenir est pour l’Esprit de vie un poumon dégagé de pollution. Descendre dans le mouvement mal adapté te permet d’expérimenter le choix que tu as fait où ta création n’a été que la projection d’une intelligence limitée. Dieu est donc dans la moisson une mémoire à laquelle il faut s’attacher au travers des vivants qui recommencent éternellement.
Sur le plan de la volonté, tout est maladie. Détourné par ta pensée qui néglige souvent le verbe aimer, tu sombres dans l’inconscient où ta création te renvoie au moment exemplaire de ton univers qui n’a pas relevé l’exemple et qui recompose dans le même esprit. Es-tu prêt à te transformer ? Es-tu prêt à demander pour que le Soi vivant ne soit plus accusé, mais révélé à l’instant ? Réalise-toi dans la semence du juste et dans la Présence de toutes moissons. Reviens vite à la maison où ton Père-Mère t’attend pour soulever ton incarnation et la révéler à la lumière de Dieu.
Que ma paix, Marie bénie, soit la moisson que j’attends dans le cœur du Saint Nom où tout est interpénétrant. Bénédictions chers enfants, l’amour est ma loi, ma vérité dans la conscience du Soi. Je vous aime.
Dans la conscience du Soi la soumission doit être dans le moment une manifestation considérant le juste pour le bon. Lumière, Je Suis. Dans l’éclosion majestueuse du juste, un bouleversement dans l’implosion de l’avènement se concrétise par le souvenir qui, lui, est intelligent. Dans la divinité de Mère la louange du juste a convergé vers de multiples consciences qui se sont imposées dans ta création dans le naturel de la moisson. Dieu c’est Moi, Dieu c’est le changement spontané, le bouleversement d’un instant et la conscience de tous temps. C’est par le verbe que l’on rencontre le monde lumière éclairant la Terre.
Es-tu vivant dans la moisson du Maître ? Es-tu action ? La récidive du bouleversement doit te permettre de te poser des questions. As-tu pris l’émerveillement de Dieu pour être éclairé dans tes cieux ? As-tu décidé de voyager dans ma paix en repoussant les excès ? Mère est l’univers qui dans la moisson porte tous les fruits, même ceux qui sont rongés par les vers. Elle les aime tels qu’ils sont et toujours en exemple du juste elle souffre, mais elle est toujours présente dans le Soi. T’es-tu posé la question sur le souvenir du moment ? Mère t’aime et s’offre à ton univers, et toi, es-tu dans la réciprocité ? Le sermon que je te soumets est pour la moisson un composant qui peut te permettre de transformer ta création et revenir au naturel du moment. L’alliance renouvelée, la rencontre doit se poser. La mort du souvenir te soumet à la question pour ton devenir. Qu’as-tu fait depuis des décennies ? As-tu recommencé à voyager dans la juste pensée ? Les excès tu les as honorés, mais jamais tu ne t’es questionné sur le vivant. Peux-tu essayer de visiter ton entièreté pour comprendre que ton Tout est vibrant dans la moisson de ta composition et que ton Tout naturel est éternel ? Tu as des mains, tu as des pieds, mais tu ne marches jamais dans la vérité de l’Être. Ton soleil manque d’oxygène et tes peines et souffrances soulèvent constamment le mal-être, tu dégénères vers le néant et enfin ton Tout reconnaît la vérité de sa vibration qui descend doucement pour t’emporter. C’est là que tu recommences en promettant d’obéir à la loi du juste, mais où est l’obéissance ?
Je Suis la lumière de la Terre, en tant que Mère je me régénère, en tant que Père Je Suis dans la manifestation de son état exemplaire. Tu m’as soumis à la volonté, aujourd’hui je crée avec de meilleures pensées et dans la complaisance je suis l’harmonie de sa danse. Dieu aime, Dieu visite, Dieu convertit, Dieu est moisson dans la louange de Jésus soumission.
Jésus conscient Je Suis.