C’est dans ces projections que nous communions avec le saint Sacré. Toutes formes de vie s’engagent à ressusciter selon les monades, inspirées par leur ascendance. Ainsi, nous constatons que l’amour est dans la lumière Dieu et que sa vérité est son élan généreux envers Dieu. Alors que la parabole expérimente l’exemple, elle doit toujours être dans l’implosion, afin d’élever une convenance associée à l’édifice de ma paix. C’est dans tous les systèmes solaires qu’on recompose l’offrande de l’état don. Ainsi, pour marquer votre temps, notre serment est de mourir pour revivre dans la paix et le souvenir. Ton volume est la moisson de Dieu dans l’accès à sa vérité et dans sa science à développer. Sous cet aspect tu embrasses le Tout puissant, afin de l’honorer, mais ta conduite dans la sphère systolique de l’univers s’est détournée de mes bienfaits.
Toutes les manifestations dans lesquelles on consent à mourir sont toutes dans le recommencement d’une renaissance qui perdure depuis des milliards d’années. Qu’avez-vous fait de la moisson de Dieu ? Qu’en avez-vous fait pour ne plus retrouver vos cieux ? Je meurs éternellement où je consens à revivre l’instant, mais ton cœur est malade, ton cœur ne moissonne plus dans le juste de la vacuité de Mère et tu te soumets à la dégradation de l’Être et, dans la peur de Dieu. Tu n’es plus dans la science de ma vérité, ni témoin de ce que je t’ai donné. Tu ne bâtis plus la paix et tu recules devant le mouvement adapté à l’Être aimé. Alors, missionnaire de l’univers, ne crois-tu pas qu’il serait indispensable de revenir à la moisson, pour s’imprégner de l’état don et vibrer pour éclore dans la nouvelle émergence du Sacré ? Aller, vis cette vérité ! Et consens à la mort pour la vie.
Ainsi, je suis Mère Marie-Dieu. Soyez bénis par l’initiation de l’Être.
Qui suis-je ? Qui es-tu ?