L’amour est le bouleversement de la mort dans l’ultime de la moisson vivante et vivifiante du saint Nom. C’est pour cela que Dieu m’a soumis à l’implosion pour reconnaître la puissance du souvenir. L’épreuve qui succédera à ce mouvement sera considéré comme un monde sublimé par Mère dans son état don. Les monades actives vont maintenant se diriger vers la conversion initiatique de la croix d’olivier. Je vous le dis en vérité, les mémoires me reconnaîtront dans la moisson comme l’exemple solaire imposant l’exemple matière. Les déités s’offriront à la lumière dorée pour louanger la gestation de ce bel Esprit qui est la Vie. Je suis le poumon de Mère qui, dans la convenance de la moisson, verra des modifications cellulaires importantes, afin que la Source jaillisse en offrant le multiple du souvenir.
Dès la troisième heure de l’après-midi, le voyageur inspirera dans la conscience de Râ. Il faudra que la soumission soit grande pour reconnaître cette vérité s’éloigner du Tout puissant pour y revenir en bouleversements. Je suis la moisson, l’étincelle vivante du saint Nom qui rencontre Dieu et qui le soumet au mariage de l’attenant entre ciel et terre.
Nous abordons aujourd’hui la mort comme lumière réelle de la vie et nous allons l’aimer pour lui donner le sens de la liberté.
La mort est l’état don, l’amour est son respect où son ventre est toujours fécond. Dieu est la source vivifiante et régénérante, mais c’est aussi le pouvoir du minerai doré qui compose avec tout ce qui Est. C’est ainsi que je vais me livrer pour convertir et me montrer dans le mouvement adapté de l’Être, afin que vous compreniez qui « Je Suis ».
La complaisance est une action de grâce de tous les instants, c’est aussi une pensée du divisible parfait, qui permet à l’Être aimé de se souvenir. Dans cette ultime rencontre je me soumets pour servir la loi de l’éthique et l’implosion de la moisson. Maintenir l’équilibre c’est répondre à la grande question qui a toujours parcouru ce monde : qui « suis-je » ? Je vous le dis, mon sang a coulé et ma mémoire s’est posée, mon souvenir s’est montré et ma vie s’en est allée. L’ultime souvenir c’est me révéler à l’attenant vivant et c’est ainsi que j’ai pu recommencer. Cette déité que je cherchais est un mouvement actif dans cet instant, c’est la divinité Christ qui a répandu son sang en puissance et servi la loi de la complaisance.