Dieu est le souffle de la vérité, Dieu est l’offrande pour toutes moissons. Mon cœur est conversion et pénétrant pour le Souvenir. Dans le besoin actuel des mondes, les moissons aimantes sont posées dans le soleil pour offrir à la composition cellulaire une rencontre de mémoires au divisible de tout univers. En effet, sur la branche d’olivier où je me suis posée, une toile d’araignée s’est développée et a emprisonné la clé du souvenir. Je suis dans le ventre de Mère la conversion qui va assurément transcender le mauvais pour l’emporter vers différents cycles de vie du passé. Dans cette réalité, mon sang va purifier le mouvement renaissant pour sauver Mère. C’est dans cette conversion que je viens assurer le changement. Pour conduire votre monde à la paix, il ne faut jamais renoncer. Quand un Être de bonté est soumis à la grandeur du Sacré, c’est qu’il peut dans l’intention retrouver l’acte du don et le ramener à l’éthique pour être l’exemple aimant. Si l’homme ne peut pas comprendre cela, il restera dans le tourbillon de la tempête et se détruira.
Il y a l’intention, il y a l’application et il y a la complaisance de tous les instants, mais l’offrande n’est justifié que par les actes. Si tu ne te livres pas à la Source en appliquant ma loi, qu’est-ce que l’acte ? Ce n’est que de la reconnaissance de l’intérêt ou de la gloire. Livre-toi dans l’humilité, la discrétion, sers la loi de l’Ultime et ton intention te reviendra grandi par le don, ainsi, ta dimension s’expansera. Tu dois être présent pour chaque vivant dans le respect et l’amour et, dans la générosité, soulever la moisson, l’honorer et la considérer. Tu n’es qu’une forme du souvenir qui te permet de servir la science-vie dans le monde évolutif de l’Être, c’est tout. Alors, prétendre au Savoir, c’est manifester un orgueil qui lui, est bien évidemment destructeur pour le Soi et pour l’environnement.
Tu n’es qu’un point de lumière qui honore la poussière. Dans le ciel étoilé comme sur terre, tu voyages pour visiter tout univers. Tu es un grain de blé qui s’élève dans l’immensité et qui sème la moisson du juste et du don.
Tu crées les manifestations et tu t’enlises dedans où ton mouvement est déstabilisant. Crois-tu parvenir au souvenir ainsi ? Le désordre du psychisme est pour le monde de l’informe une déchirure cosmo-tellurique qui vous entrave à des mémoires dissociées pour régresser et non pour évoluer. L’homme revient à l’état primal du singe. Il faut donc retrouver la maturité, un ancrage parfait, pour recommencer, mais aussi reconnaître que tu n’es pas ce que tu crois, mais un bouleversement constant qui, accepté, te permet de vibrer dans un monde hostile à ma vérité.
Reconnais-toi dans le souvenir et accepte d’être ce que tu es pour changer. Je te remercie de moissonner dans la fébrilité de l’instant afin d’enfanter l’état don espéré. Avec toutes mes bénédictions, sois la « légende pour ce temps ».