Lorsque je me suis livrée à la mort, c’est pour que la conscience de la vie soit affirmée dans l’être incarné.

Dans les mémoires du don, je me suis placée pour incarner dans le Sans-Nom la conversion. Tout être vivant dans la mort est la réalité d’une connaissance mariale en toutes moissons vivantes dans l’instant, afin de recréer la science de l’état don. Tout a commencé le jour où la mort a réagi à l’inconscient vibrant du minerai doré. Depuis lors, je n’ai jamais cessé de voyager et d’interpréter en toutes formes et en tous volumes, la connaissance pour tout ce qui vit. On peut appeler cela, l’Évidence, mais Je Suis le pouvoir qui, lui, soumet la moisson au rectangle du monde de l’informe pour servir la loi des mondes. Ainsi, Christ s’est révélé à l’inconditionnel par le bouleversement de sa neutralité au sein de l’atome premier. Des milliards de mouvements ont été la source d’un passage de connaissances, de mémoires, qui dans la genèse ont démontré le don. Accéder au divisible du Parfait, c’est reconnaître en soi le maintien de l’équilibre de la genèse et dans ce pouvoir, renaître c’est imposer dans la rencontre l’esprit vivant d’une moisson généreuse dans l’essence de la mort pour la vie.

Si l’on revient au moment où les mouvements m’ont permis d’entrer dans la mort, on peut voir que dans la cellule, le mouvement inconscient s’est posé pour reconnaître ses actions, un binaire solaire, un pouvoir pour moissonner et une mémoire pour accomplir. La Moisson est la croix déposée dans le ventre de Mère où le Tout espère.

Merkaba est la convenance du juste conditionné dans l’esprit au pouvoir illimité, c’est ainsi que le binaire est votre réalité.

Que le soleil brille pour vous éclairer. Nous sommes la communion des Mondes où nous espérons construire le monde.

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