Dans l’unité du verbe, le juste est une moisson réactive à l’amour présent. C’est aussi une mémoire qu’il faut honorer dans l’instant, donc, je dirais que l’existentiel de la voie est une offrande amoureuse qui, dans l’empathie du cœur de la vie, est la rencontre de la mort recomposant l’unité dans le juste voyageur du moment. Tous mes desseins, mes messages, sont l’impression imposante de l’Être qui porte la Moisson à se régénérer à tout instant. Dans cet esprit, l’espace vivant du « Je Suis » est le soleil qui brille dans le majestueux de la mort.
Revenons à l’unité pour recomposer le pont des initiés, pour se dévoiler en exemple à la maturité. Nous consentons au moment présent pour vous imposer le juste pour le bon. Notre convenance c’est de vous associer au « Je l’aime » du Parfait pour vous dévoiler aux Mondes de la source du minerai doré et intensifier son rayonnement pour vous élever dans la cour des puissants. La mort est la résurrection du moment dans l’instant d’une incarnation. La brise légère qui communie avec votre univers est un mouvement d’unité qui recommence pour vous soulever vers l’alliance renouvelée du juste. Il y a donc une transcendance de pouvoir qui permet à la Moisson de tout donner, mais aussi de recommencer. Les interactions des mouvements volontaires permettent à vos univers de maintenir l’équilibre des monades expérimentant la mort dans son état fécond. La lumière qui soulève la majestueuse énergie de la vie se soumet à des déités pour que le « Je Suis mort pour la vie » reconduise le bon fruit à Christ-Moisson, incarné dans le Tout puissant.
Mon sang a coulé, mon pouvoir s’est placé. Avec mes bénédictions, Je Suis lumière et paix.