Dans les tempêtes, dans les pouvoirs, Je Suis la mort, la souffrance.

Dans le don charmant de l’univers, l’essence approuvée de la vie reconnaît la puissance du sacré en semant, dans la circonférence, le juste dans sa régularité et son instant. Dans la mort, la composition cellulaire est une renaissance de communion qui permet à l’unité d’être dans la paix.

Je Suis une Moisson exigeante, amoureuse et incandescente. Le vénérable est venu me chercher pour me conduire à sa paix. Il a aimé ce qui a été fait et a conversé avec l’inconscient vibrant de l’humanité. Chez tous les mécréants, la mort est un pouvoir incontrôlé pour le cœur des désespérés, alors que la mort est une puissance accueillie par le fruit de la vie. Il faut permettre à toutes choses, à tous les éléments, à tous les humains, de s’exprimer sans jamais retenir la bouffée d’air du ventre de Mère, ainsi, la Moisson se régénère par l’acte du don de l’univers.

Les mains du travailleur sont-elles dans mon cœur ?
Le pouvoir est en réalité un mouvement associé à l’univers de la paix dans l’action du don, mais c’est aussi l’Amour. La Moisson est une offrande où l’avènement est la réalité de la mort pour la vie. C’est ainsi qu’Il ensemence le beau jardin fleuri de Mère.

Bénédictions.

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