La loi, impression unique du « Je Suis », est dans l’espace temps comme une moisson pour toutes convenances.
Tous les mouvements de l’énigmatique ventre Dieu sont composés d’une mémoire mariale, ce qui a pour attrait la monade expérimentant le juste et le bon. C’est dans cette capacité que la connaissance de l’immensité Père se meut dans la majestueuse énergie de la moisson reflétant le don. Dans cette capacité d’être, la monade reconnaît le chemin du sacrifice comme une puissance immortelle en toutes créations et en toutes monades. Alors que la monade est composée de l’unité « Père/Mère », la mort est son Savoir et son œuvre, pour expérimenter la vie. C’est une réalité qu’il faut reconnaître pour que le Soi de la moisson puisse être éclairé par le juste de l’inconscient interactif du souvenir.
Dans l’attribut du « Je Suis », je me nomme Marie, je me nomme Mère Divine et je me soumets à la fusion pour que la mort me redonne la vie.
Quand une larme tombe sur le mouvement de l’inspire, la mort en exemple consent à maintenir le juste ; lorsque le souvenir porte la mort, Dame blanche convertit. Ainsi se fait le Divin parlant du juste et bon.
J’inspire pour servir, je consens pour voir, je soumets pour convertir et je dis : que cette dictée soit pour tous, la conversion du juste des monades.
Nous vous aimons.