Dans le soleil, la mort est pensante. Dans la mort, il y a le don, mais aussi l’action.
Dans la monade, que je suis, le mouvement s’est posé aujourd’hui. Je me soumets à cette volonté pour que la communion mariale du Soi puisse s’effectuer dans une moisson plus élevée. Ainsi, je suis Marie Christ, ainsi, je suis la divinité qui offre la moisson à l’unité du ressenti profond. L’avènement de mon être vivant est un bouleversement constant. La mort de la moisson est une monade à expérimenter dans la composition cellulaire de la conscience vivante du juste et bon. Entre le pont du ventre de la monade consentante et celui de la moisson il y a une interpénétration qui peut s’effectuer sur-le-champ dans l’offrande de gravitation, afin d’honorer le souvenir exemplaire du moment.
La mort est ici mon identité où la conversion peut s’exercer. L’omniscient se révèle et la monade exemplaire consent à une moisson imposée par l’initié. Nous allons, dans les poumons de l’indivision, nous soumettre, afin que le divisible soit relevé dans un champ d’actions plus présent. C’est pour cela que nous vous dirons que le cœur de vérité se révèle à votre identité.
Revenant de la mort pour imposer la vie, je suis Marie Christ en Dieu vivant, pour honorer la loi du moment. Nous aimons la monade de la louange, nous sommes le Monde révélé à l’univers de l’instant, nous sommes puissants.