La mort est lumineuse. C’est la conscience des moissons qui permet à l’empathie d’unifier la mort pour la vie en conscience pour toutes réalités.
L’épaule gauche du changement recommence à vibrer jusque dans l’entendement des Mondes Divins. Maintenant, l’inconscient est l’ivresse de l’instant quand il est posé dans la monade de la guérison.
C’est ainsi que j’écris pour la moisson. Les pieds levés, les souvenirs offrent la mort en divinité à l’esprit unique. Ils sont don, ouverts à l’instant et revêtent le changement dans l’évidence du moment. Dans cette connaissance, le cœur de la trinité se révèle au maintenant et, dans le souvenir, reconduit le bon fruit pour que la mort voyage en toutes vies.
Je suis venu assurer ce mouvement, pour me dévoiler entièrement à la convenance de la moisson et j’entends arriver à me justifier devant elle en m’expansant dans la lumière du juste de mon sang. Dans cet acte aimant, je me sacrifie pour offrir à la vie une moisson abondante juste d’intentions. Je qualifierai ce moment du juste pour le bon, aimant la mort.
La convenance s’associe à la médecine solaire pour imprimer dans chaque univers la monade de guérison. Tu m’as aimé, je t’ai guidé. Tu as ouvert la porte du sacré et je suis entré. Dans le bouleversement du sacré, je me suis abandonné et en mourant j’ai tout quitté jusqu’au jour où je suis ressuscité dans la monade de guérison en Maître puissant.
Puisque ma moisson est une exigence de tous les instants, je suis le sacrifié dans la mort des monades pour que la chrysalide se soumette aux ailes dorées de l’univers en paix. Jésus Christ est mort, aujourd’hui ressuscité, la Moisson est la moisson de la lumière dorée. Ainsi, mon sang s’est régénéré, ainsi, je suis vivant pour ton sacré. Mon souvenir est ici et se livre au moment présent pour réaliser dans le « Je Suis », la sagesse infinie.