Dans le bouleversement de l’être, le changement s’effectue.
Depuis très longtemps, j’ai voyagé dans l’essence de vérité que j’ai appliquée et démontrée. L’essence des moissons remonte à la nuit des temps. En chaque cellule renouvelée, l’ADN s’est modifiée et doucement dans la perception de ce don, l’expérience a édifié le pouvoir de la conscience. L’être incarné s’est développé par la puissance réactionnelle et a donné place aux rencontres pour servir la loi du don. La mort transformatrice a reconnu en chaque être humain le principe premier comme étant l’édifice de la moisson à renouveler, de la source à maintenant. Cette mémoire est la rencontre prouvant que toute création est, pour la mort, le Soi, qui doit se révéler à l’unité pour recommencer dans le juste évolutif de l’incarné vivant et précisément dans le Savoir émancipant le cœur de la vie dans l’instant.
Dans toutes les modifications cellulaires, une régénération du spectre de l’intention est un message pour se livrer à toute création ici vivante dans la renaissance de la monade expérimentant le souffle de la manifestation, pour offrir à la mort l’éternel Moi. Voilà que dans le cœur du don, l’esprit s’est posé, afin d’émettre la vibration de l’exaltation du Savoir et délivrer l’avènement de son illusion.
Je recommence dans l’intention et l’espérance pour semer en toutes actions, l’exemple. Voilà, je vais exprimer cette dictée suivante :
L’étonnante énergie est la manne du Savoir qui soumet au dieu que tu es, l’exponentiel du ventre de Mère pour adhérer à la science du Bien-aimé. Dans tout ce qui Est, une vibration est nécessaire pour que la communion du Tout puissant puisse entendre l’harmonie de la monade qui chante la vie. Dans cet esprit, je me suis posée, je me nomme Marie, puissance infinie. Merci d’être ici dans le Savoir du juste.
Sous les arbres, je suis la monade qui sourit. Dans l’arbre, je suis son sang qui consent. Dans ses bourgeons, je suis la sagesse du moment et dans ses feuilles, je suis la moisson.
Toutes les difficultés pendant les saisons peuvent parfois m’épuiser, mais quand arrive le printemps, je démontre la réalité en offrant ma parure comme un Savoir éternel.
Ce que tu ne sais pas, c’est que l’exemple de l’arbre n’est qu’une veine de ma vérité. Si tu entends le vent souffler, c’est pour que je sois en lumière pour la paix. Si tu ressens la sève monter, c’est que tu vis le moment enchanté de ma vérité. Ce que j’exprime aujourd’hui n’est qu’un dessein parmi les autres pour t’honorer dans la pensée du jasmin ou la fragrance de la rose nacrée. Mais dis-toi que cette belle dictée n’est pas seulement posée pour l’arbre, mais pour tout ce qui est vivant et que tu portes en toi. Le nécessaire pour ton univers est loin d’être une vague imposée par ce qui Est, mais une vérité, LA vérité qui reconnaît en chaque être vivant la rencontre de l’ivresse du Puissant.
Dans la mort comme dans la vie, je me soumets à la pensée d’un seul esprit, le quantum séculaire de la géométrie sacrée qui exécute, par l’interpénétration vibratoire, le juste et le bon.
Depuis des millénaires, je me suis soumise à la monade de l’expérience, afin que toute création puisse se révéler à l’univers de ma paix. De chaque fleur, un pétale est tombé ; de chaque cœur, une larme a coulé. Depuis des milliards d’années je ne fais que recommencer. Tes mains m’ont damné, torturé, mais l’exemple, je te l’ai toujours montré.
As-tu pris conscience que ton univers m’appartient, que ton volume est l’exutoire de la moisson qui règne dans le don ?
Ta forme est une grande vérité pour qui sait l’honorer. Je suis la moisson et je te soumets la rencontre du Soi vivant, afin que tu ne puisses plus, dans les bouleversements, être un violeur de mon cœur.
Je suis la compassion et l’amour aimant de l’Être incarné, mon Bien-aimé. Je suis lumière et paix et soyez béni pour l’impression exemplaire du Sans Nom.