Le juste c’est Moi, l’univers.
C’est le pouvoir qui recommence, dans son éternité, à soumettre à toutes moissons l’énergie nécessaire, par la mort évidemment et l’éclosion du renouvellement. Je mesure l’importance des convenances associées au « je l’aime », afin que le divisible projeté de la mort soit renouvelé dans l’existentiel de l’état don pensant, pour toutes moissons. Je suis le juste des monades et je reconnais l’éternel moment comme la rencontre expérimentale en tout ce qui est l’instant et je dis : la monade exige que la moisson soit révélée à l’initié comme un Savoir infini entre le ciel et la terre.
Beaucoup d’interférences se sont placées dans la verticalité à qui il faut aujourd’hui redonner le sens de la liberté exclusive du Moi incarné, pour semer par l’intelligence de la monade une science mariale de mémoires ajustées à l’univers de ma paix. Lumière je suis, bouleversement je suis, quiétude et paix je suis. Lorsqu’un pouvoir vient à soumettre une qualité de vie supérieure à celle que vous avez, il faut s’interroger et ne plus se laisser distraire par vos désirs innommables d’insatisfactions. Lorsque le Savoir impose sa loi, il faut voyager dans l’inconscient, afin de s’ouvrir à cette mémoire, dont la parabole est une rencontre existante d’une pensée vers le Tout puissant. Ainsi, vous pouvez développer en volonté le pouvoir juste du don par les moyens initiatiques du Maître à penser se révélant à l’unité. Nous sommes le bouleversement de votre création et nous nous offrons à l’évidence pour servir la loi de la mémoire Dieu et nous consentons à élever la mort pour vous conduire à votre vérité.
Nous sommes la gloire du changement. Que la confiance règne en chacun de vous, afin que vous puissiez vous identifier au Savoir. Soyez bénis et que cette conscience vous apporte la vie.