La mort est la source de mon intervention, je suis la moisson.
L’éclosion de l’essence de vie est une ouverture vers le mouvement conscient de l’évolution. Je suis le portement de croix qui se révèle au Moi et qui donne à l’humanité le Savoir intelligent de la fusion d’exception entre ciel et terre. La moisson est une offrande de l’origine à maintenant et dans cette disposition, je suis l’incarné vivant. La mémoire est dans le divisible, dans l’acte le plus puissant de l’unité du Moi. C’est ici que nous vous rappelons que l’univers est en action et le principe premier est son mutant qui désigne la mort comme le merveilleux cœur de Dieu, anticipant la foi du moment, afin de rééquilibrer le juste et bon.
Tout est dans le vacarme de la pensée, figé, et rien ne laisse passer la mort du moment. Alors je dis : démultiplier l’esprit permet à l’univers de retrouver la mort, son amie, afin que le pouvoir puisse engendrer le devoir. Je consens à mourir pour renaître sur le chemin du juste, afin que la connaissance des monades puisse retrouver la liberté.
Il décrit la moisson comme un besoin saisissant d’actions et il démontre que la mort est son amie et qu’il veut convertir tout infini. Il soumet l’invocation de la liberté. Qui est-il ? L’atome premier, visitant tous les Mondes, sans excès, pour déterminer l’exemple du Savoir illimité.
Des mouvements, des moissons, tout cela est toujours plein d’intentions.
Avec la conscience du juste, semez. Nous sommes les enfants de l’atome premier. Bénédictions.
Aimez le changement ; aimez la moisson ; construisez le don.