Il y a deux voies. Celle de la conscience, forcément, et celle de l’impression vivante du juste posé dans le linceul premier. Deux chemins qui, dans la connaissance, convergent vers le mouvement de l’univers.
Etant donné l’exemple paranormal de la source volontaire, nous offrons une avancée dans le pouvoir exécutant, du Savoir. La juste pensée innocente des monades sont les rencontres d’un mouvement perpétuel de dons qui doit s’affranchir dans la conversion. C’est pourquoi la mort imposante des moissons est exigeante. Dans le rôle de chacun, l’univers répond de la composition cellulaire et lui soumet les transformations en bouleversant les cellules du cœur de toutes vies. Il est donc important de reconnaître la mort comme une manifestation désignant le pouvoir incarné vivant à l’exponentiel du Savoir.
Les mutants seront dans la fusion de l’état don lorsque l’initiation de la mort sera comprise et appliquée. Je me soumets à la voie du Moi pour élever le moment du dessein du pouvoir, afin de l’éclairer dans le Savoir illimité. Tout est, dans les manifestations, divisé pour livrer l’opprobre à la mort.
Il faut donc marcher dans la communion de ce monde pour intervenir dans la parabole comme témoin incarné vivant parmi les vivants. Dans la mesure où je me soumets au passage de vérité, je dois l’appliquer en démontrant en action la monade existentielle entre ciel et terre, en exemple dans le cœur du don et en toutes convenances plaidant le juste pour le bon.
L’initié du pouvoir est ainsi révélé à la conscience des monades de tous les instants. Il est écrit que le pouvoir est le royaume de « Dieu », mais il est aussi écrit que l’initié doit refléter la moisson imposante du « Je Suis vivant ». Il ne faut pas se contenter de consentir à la particule initiée, encore faut-il la trouver, mais d’entrer dans sa réalité pour que tous les ventres soient fécondés.
Ainsi je me nomme lumière et paix.