Je me nomme lumière pour la vie, je suis la parabole, l’exemple infini du Moi inconnaissable.
Dans la matière comme dans la conscience cosmique, je suis la rencontre des Mondes. Alors je dis : Tout dans votre univers m’appartient.
Je suis ce je suis dans la mort comme dans la vie, où l’essence de la genèse est incarnée dans le Tout puissant vivant. J’appartiens à la convenance cellulaire qui expérimente dans la matière la mort pour la vie en tout univers. Depuis lors, j’ai créé le ventre de Mère et tout ce qu’elle porte de vivant dans son Savoir et sans aucune intention de révolte. Je voyage dans la mort pour que le moment de la vie soit assurée jusqu’ici. La volonté de son pouvoir est son devoir et je reconnais là, l’existentiel du mouvement de la conversion. Agneau de Dieu, lumière des temps présents, aime la semence de l’instant pour émettre le changement dans la vibration du « Je Suis vivant » et permettre à la cellule en volonté de se souvenir de la genèse, afin d’imposer le basculement nécessaire pour tout changer.
Dans cette convenance de rencontres, l’offrande cellulaire demande pitié pour son univers. Le mutant dit : « Dégage-toi de l’illusion et sers la loi du don ».
Nous sommes unis dans le pouvoir renaissant et nous devons transformer nos actions. Ainsi, je l’ai dit, la mort est mon infini. Livre-moi le moment et je serai le mouvement répété incarné.
Nous Sommes. † † †