Je suis la volonté Christ, la vacuité, l’exemple de Dieu sur Terre comme au Ciel.
La mort est l’exemple à rencontrer, l’amour en est son effet et la majestueuse énergie du Savoir, son Moi. Lorsque le mouvement est dans le mouvement de l’ultime grâce du moment, il y a un retour qui s’exerce par amour et lorsque le changement est dans le pouvoir de la moisson, il y a l’exemple du Savoir qui se manifeste dans le maintenant. En tant que messager, je suis le don percutant du Sans-nom, où l’avènement doit prendre certaines dispositions, pour que l’inconscient soit participant à la pensée juste. C’est pourquoi le changement est livré au moment des difficultés. Il y a entre le réel et l’illusion une offrande percutante qui doit générer le don conscient de la mort. Etant donné que la moisson est livrée dans l’abondance, le Maître renaissant doit appliquer la règle du changement. Chaque cellule du moment doit offrir le juste de la rencontre à l’ivresse de la pluralité. Donc, nous considérons que le pouvoir est la puissance de la Présence, qui initie la transformation cellulaire, semence singulière de la mort pour la vie.
Je suis le pouvoir du « Je Suis incarné, vivant en toutes rencontres » et je bénis l’exploration du maintenant. Toutes mes dispositions sont le moment conscient de l’offrande, imposés par la loi de la conscience universelle des Mondes. Il y a le pouvoir, il y a le Savoir, la pensée juste et la voie.
Je me suis penché sur l’univers du pouvoir pour expérimenter le changement. Je n’ai pas vu de convenance exemplaire pour votre univers. Alors, que la mort est l’ultime de la vie, l’humain n’a pas encore compris qu’il fallait édifier et appliquer cette action pour que le renoncement total à l’illusion puisse s’expanser vers d’autres horizons. La dyade est l’émancipation de cet état inconscient du voyageur. Il ne faut pas oublier que la renaissance de toute création vit dans l’esprit du Tout puissant. L’époque de la division est révolue, l’unité s’impose à vos convenances. Il faut se préparer au mouvement du divisible qui est mon unité, mon sang, qui soulève la mort dans la communion éternelle du « Je Suis vivant ». † . . . . . . † † †