La mort, la vie est mon pouvoir, l’amour pour l’inconscient est mon devoir. Mort, vie, moisson, conversion sont mon évidence.
Il faut se porter vers la rencontre de la parabole qui dessine l’exemple du Moi. La naissance est le souvenir du Moi, dans la communion du don. Alors, méditez sur le carré et retrouvez-moi dans le cercle des initiés. Je suis la divinité Christ qui vous permet le Savoir, la mémoire.
Je voudrais que la majestueuse énergie de la vie soit, dans la moisson, comme une mort assurée, pour donner l’exemple de l’unité et je dis, qu’il est nécessaire d’y entrer, en partageant en toutes convenances l’esprit de ma paix. L’intention doit vibrer pour que le Savoir puisse s’élever, mais aussi pour que la loi soit renouvelée. Dites à vos pères ce que vous avez trouvé, nul ne pourra vous le reprocher, car c’est dans l’ivresse de l’instant que l’on reconnaît la Sagesse. Mémoire du passé, moment activé, reconnait la parabole en l’appliquant. « Aime toi plus que ton dieu ». Sert cette loi pour ta convenance qui, elle, réagira à l’exemple du juste.
Tu as pris l’habitude d’être devin, es-tu conscient de toi-même ? Peux-tu apporter à tes frères ce que tu ne t’apportes pas ? Peux-tu délivrer la mort pour son éternité ?
Consens à l’ivresse des moissons pour pouvoir être vivant dans l’unité du don. Je ne vois pas la mort, je ne l’entends pas, où l’as-tu cachée, puisque je ne la vois pas ? Peux-tu guérir de tes plaies, en refusant de savoir qui tu es ? Sois limpide comme la source pour rejoindre le changement.
Aimez-vous dans les peines et les joies, mais restez toujours fidèle à la moisson. Je ne suis pas là pour vous juger, mais pour vous rassembler, afin de vous donner le meilleur de moi-même. Le changement est en Dame blanche qui, elle, attend la divinité de la mort pour insuffler la vie.
Je vous bénis, je vous donne ma paix et l’esprit de ma vérité. Concentrez-vous dans la parabole et laissez la se révéler en vous. Bénédictions. † †