Mon ventre est lumière livrée à la mort pour la vie. Je suis Marie, Mère des espaces infinis. Au nom de la lumière et des voyageurs conscients, je dis : Il y a sur la ligne d’horizon des diamants. Ils sont tous le reflet de ma vérité où la volonté du pouvoir s’exerce sans condamnation. Je suis le moment de l’incarnation, la pensée juste du don. Toutes mes moissons sont régulières dans le moment, toutes mes mémoires sont mariales en tout attenant. Lorsque je pose mon pied sur la rivière d’argent, le souvenir s’exerce instantanément.
Lorsque la voie nourrit la vie, je suis toi ; et lorsque le don du divisible unit, je suis la mort qui se révèle à Lui.
Toutes les couleurs vibrantes du moment sont dans l’harmonie lorsque tu me reconnais en Mère pour tout univers. Le cœur vivant est la moisson que j’attends. Cultive ton champ et soumets moi le bon fruit mûri par l’exemple de la mort aujourd’hui. Cueille le bon fruit et offre lui. Ainsi, ton jardin refleurira dans le souvenir de Râ où la voie reconnaîtra les divisibles des mouvements qui s’empliront de parfum du don où la moisson s’exposera à son rayonnement.
Que ce voyage dans ce mouvement apporte à l’humanité le courage et la foi pour passer la porte du ciel.
Nous sommes pour la forme le moment présent, le divisible.