La mort est la lumière qui éclaire l’espace de vie. C’est une science qui poursuit la moisson d’abondance. La saison de la mort m’étreint et me convertit jusqu’au moment où la vie ressurgit. C’est la beauté du savoir qui se place dans le devoir. Cela consiste à être vivant dans toutes les étapes de transformation. C’est pourquoi la mort justifie de la vie reconnaissante des mouvements exemplaires de Mère Terre et dans son divisible, en état de don permanent, justifiant de la bonté généreuse de son amour existant au travers du temps. Tu es le mutant parcourant toutes ces transformations, ces changements, dans le sacrifice temporaire de Christ en conscience de l’état de vacuité, qui te soumet la vie, sans difficulté.
le mouvement —> O —> l’édifice du sacré, le bouleversement
la conversion —> <> —> le soufle – la mort : la mémoire- la vie
L’éclosion du « Je Suis » où je me retrouve conscient de mon infini
A toi, gloire à la vie
A moi, pour mon infini
Je suis amoureux de Christ
Qui est la mémoire qui me
conduit à son éternité
Dans cet élan de grandeur
Je me retrouve face à mon coeur
Qui est la rivière d’amour de mon bonheur.